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Intéressé par l’entente improbable des trois protagonistes du désormais célèbre « apéro saucisson pinard », le journaliste et écrivain André Bercoff a demandé à rencontrer Pierre Cassen, Christine Tasin et Fabrice Robert. Il voulait comprendre pourquoi trois militants aux origines politiques aussi différentes – l’un est passé par la LCR, l’autre par le Parti socialiste, le troisième anime le Bloc Identitaire – ont-ils senti la nécessité de mener de concert une initiative qui a suscité beaucoup de polémiques, certains y voyant une provocation malvenue teintée de racisme ?

Interdit à la Goutte d’Or, l’apéro saucisson pinard se repliera sur les Champs-Elysées, devant la plaque du 11 novembre 1940, première marque de résistance de la jeunesse à l’occupant allemand et réunira plus de mille personnes débordantes de joie de voir leurs préoccupations enfin prises en compte.

Six mois plus tard, les mêmes recommençaient, en organisant, malgré les menaces et les pressions, les « Assises internationales sur l’islamisation de nos pays ». 1 300 personnes suivront les interventions de vingt-cinq invités de douze pays différents, dans une salle comble, et 600 000 internautes regarderont, durant le week-end, en direct ou en différé, l’événement.

Tout au long de ce livre de 240 pages, intitulé « Apéro saucisson pinard » et sous-titré « L’islam, un débat qui rassemble », André Bercoff, qui anime la discussion, cherche à approfondir les questions posées par cette alliance encore bien improbable quelques mois auparavant. Pierre Cassen, Christine Tasin et Fabrice Robert n’esquivent aucune question, et ne se réfugient jamais dans la langue de bois.

La lecture du sommaire montre l’ampleur des sujets abordés :
• Préface d’André Bercoff
• RL, RR et BI : une rencontre improbable ?
• Le nouveau visage de la France
• Le 18 juin 2010
• Des questions qui dérangent
• En finir avec la culpabilisation et la repentance
• Des charters pour les délinquants ?
• Existe-t-il une société européenne ou occidentale ?
• L’universalisme, un non-sens ?
• Se battre ou pas en Afghanistan ?
• Du rôle des États-Unis
• Quand les musulmans nous demandent de combattre l’islam
• Quid du patriotisme chez nos voisins et chez les Anglo-Saxons ?

Parfois, sur certains sujets, le ton monte, les passions s’exacerbent, mais toujours dans le respect de l’autre et l’amour du débat. Ce livre, à l’époque de la dictature du politiquement correct, à un moment où des pans de la gauche judiciarisent systématiquement le débat politique, ou veulent empêcher de parler leurs opposants, est un ballon d’oxygène dans la France de Voltaire. Puisse le message d’amour de la France et d’unité des patriotes, au-delà de leurs divergences, être entendu par un maximum de Français. En tout cas, il a séduit un éditeur suisse, Xenia.

André Bercoff a fait l’objet d’un sévère rappel à l’ordre de la part de la police de la pensée qui l’a qualifié d’islamophobe pour la seule raison d’avoir accepté de préfacer ce livre.

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