Des pirates informatiques de la mouvance islamiste ont pris le contrôle dans la nuit de mercredi à jeudi de la page Facebook du groupe féministe Femen-Tunisie après la diffusion de photos de deux jeunes Tunisiennes seins nus. “Grâce à Dieu nous avons piraté cette page immorale et le meilleur est à venir”, y est-il indiqué par le pirate qui signe du nom “Al Aangour”. “La page a été piratée et si Dieu le veut, ces saletés vont disparaître de Tunisie”, écrit-il encore.
Vous pouvez aussi aimer
Les chiffres de l’Insee ne sont pas fiables
La qualité des chiffres de l’institut est primordiale pour une gestion efficace de la France. Or des chercheurs contestent les méthodes utilisées par l’Insee et interrogent son indépendance vis-à-vis du...
Faillite de Groupama : Une catastrophe à la Lehman Brothers ?
Groupama, l’assureur agricole, inventeur de la désormais fameuse Cerise, et du non moins fameux Amaguizz, où Jean Rochefort apparaît en vieillard sénile étalant son Alzheimer à la boulangerie du coin après avoir échappé...
France : Fillon propose un vote annuel du Parlement pour fixer le nombre d’étrangers admissible
En course pour prendre la tête du principal parti d’opposition français, l’ancien Premier ministre François Fillon a proposé samedi un vote annuel au Parlement pour fixer un nombre d’étrangers...
Syrie: la France s’alarme d’une extension régionale du conflit
Après les raids israéliens sur Damas, les Occidentaux craignent que le conflit ne soit déjà en train de gagner les pays voisins, et s’interrogent de plus en plus sur la livraison d’armes à l’opposition...
Trafic d’héroïne à Hyères : l’enquête conduit les gendarmes à Lyon
Les gendarmes de la brigade de recherche de Hyères qui enquêtent depuis un an sur un trafic de stupéfiant à destination de la côte varoise ont interpellé plusieurs individus près de Lyon. Les suspects pourraient être...
Louviers (27) : Règlement de comptes en pleine rue, trois frères blessés par balles (Màj: Ali, Mohamed et Jamel veulent être reconnus comme “de vraies victimes”)
Les trois victimes de la fusillade de Louviers en 2015, jugée depuis lundi par la cour d’assises de l’Eure, ont déposé à la barre mardi 21 mai 2019. Elles attendent d’être reconnues comme de vraies victimes.