La lenteur de la procédure et l’ancienneté des faits ont été cœur des débats tout au long de l’audience : les prévenus assurent ne plus se souvenir, le contrôle judiciaire n’est plus totalement respecté.
[…]Le trio visait des coins reculés de campagne : « Car il n’y a pas de caméras », déclare l’un des prévenus. Des voitures, habitations et entreprises de nombreuses communes ont été visées : Saint-Georges-de-Reneins, Anse, Saint-Étienne-des-Ouillères, Blacé, Saint-Lager, Marchampt, Beauregard et Chasselay.
Le troisième larron, Djelloul Ferroudj, qui est actuellement incarcéré, qui a nié une grande partie des faits et qui n’a pas respecté les obligations de son contrôle judiciaire, écope de dix-huit mois ferme avec mandat de dépôt.
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