Elle a été mise en examen pour association de malfaiteurs et violation du secret professionnel. Cette fonctionnaire du ministère de la justice risque jusqu’à dix ans d’emprisonnement.
Le parquet précise qu’il la soupçonne des chefs « d’association de malfaiteurs, blanchiment, violation du secret professionnel et détournement de la finalité d’un système de traitement de données à caractère personnel »





