INFO BV. Attaqué violemment à son domicile stéphanois, le 3 octobre, par un commando d’antifas, Vincent, jeune artisan et militant royaliste à l’Action française (dont nous ne dévoilerons par le patronyme), a accepté d’en témoigner auprès de BV.
Étienne Lombard. Comment cela a-t-il commencé ?
Vincent. Il était très exactement 8h13. Je le sais parce que je finissais ma toilette et me préparais à partir travailler. J’ai entendu frapper à la porte de mon appartement. Intrigué par une visite à cette heure, j’ai demandé de quoi il s’agissait et j’ai entendu une personne répondre qu’il s’agissait de la livraison d’un colis. J’étais méfiant, car je n’avais rien commandé, et j’ai juste entrouvert la porte d’entrée.
Et là, tout est allé très vite. Un type a mis son pied dans l’ouverture pour m’empêcher de refermer, et j’en ai alors entendu un autre me crier “T’es un nazi, fils de p… !” L’un d’eux a alors donné un violent coup de pied dans la porte et les quatre individus se sont engouffrés dans l’appartement. L’un d’entre eux m’a plaqué contre un mur, pendant que deux autres se sont mis à me frapper au visage. Et le quatrième, le plus grand, celui que je pense être le chef du commando, est resté en retrait et a regardé ses complices me démolir. Ils m’ont ensuite poussé sur une table, qui s’est renversée. Ils ont continué en me donnant des coups de pied. J’ai voulu me défendre et je me suis abîmé les poignets. Tout cela n’a duré qu’une grosse minute, mais c’était dense. Une pluie de coups, et je ne peux même pas dire combien j’en ai reçu… Puis j’ai entendu leur probable chef dire « on se barre ». Et ils ont détalé.
É. L. Les avez-vous reconnus ?
V. C’était impossible de les reconnaître car ils avaient tous les quatre le visage caché.
(…)