– 40 % des places en Centre de rétention administrative (CRA) sont occupées par des migrants algériens qu’on ne peut pas expulsés faute de coopération avec leur pays. Résultat, on n’a pas assez de places pour accueillir l’ensemble des étrangers qu’on voudrait reconduire dans leur pays.
– Que ce soit avec la DGPN (Direction générale de la police nationale), la DGGN (Direction générale de la gendarmerie nationale) et avec les services de renseignements, il n’y a plus d’échanges d’information opérationnels avec l’Algérie. Et, par ailleurs, la conséquence est que l’Algérie n’accepte plus ses ressortissants en situation irrégulière depuis le printemps dernier. Nous n’avons plus non plus de laissez-passer.
– On a 500 éloignements forcés fin octobre vers l’Algérie, là où l’on comptait plus de 1 400 éloignements forcés l’an dernier sur la même période.
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