Selon nos informations, la gestion du directeur de l’Athénée royal du Sippelberg, Hassan Ouassari, est mise en cause par des responsables syndicaux et des documents transmis à Wallonie-Bruxelles Enseignement (WBE).
Les accusations portent sur :
- des travaux bâclés réalisés l’an dernier, ayant posé de sérieux problèmes de sécurité pour les élèves,
- une porte accordéon de bibliothèque facturée mais jamais posée,
- des fausses attestations délivrées à des habitants pour leur faire obtenir une réduction sur l’abonnement parking,
- un local réservé à la prière selon un PV de réunion interne,
- des élèves refusant d’assister à certains cours (français, sciences, histoire, philosophie) car les thèmes abordés heurteraient leurs convictions religieuses (religion, conflit israélo-palestinien, sexualité).
Ces éléments alimentent les soupçons d’une gestion douteuse et d’une influence religieuse au sein d’un établissement censé rester neutre.