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30/06/2025

INFO LE PARISIEN. L’opticienne de 44 ans agressée en novembre 2024 présente de probables séquelles définitives. Le tribunal correctionnel de Pontoise, qui devait juger ce mardi un des auteurs présumés, a donc ouvert une information judiciaire au criminel. Ce qui pourrait ouvrir la voie à un procès aux assises.

L’opticienne des Flanades devra sans doute vivre avec des séquelles définitives de son agression. Un médecin vient de décrire une probable infirmité permanente résultant des coups portés au visage de la victime de 44 ans. Des faits commis à Sarcelles, en novembre 2024, qui pourraient être dès lors qualifiés de criminels par la justice, à l’issue de nouvelles expertises.

Le tribunal correctionnel de Pontoise, qui devait juger ce mardi après-midi le jeune Ousmane D., seul suspect interpellé dans le cadre de cette affaire, s’est logiquement dessaisi du dossier pour le renvoyer à un juge d’instruction. Une information judiciaire doit être ouverte sous peu avec la mise en examen du prévenu de 19 ans. Avec, en ligne de mire, une possible future comparution devant la cour d’assises.

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Le Parisien


21/11/2024

Cette opticienne du centre commercial Les Flanades a eu le nez brisé lors de l’agression survenue, ce lundi 18 novembre. Elle peine à comprendre pourquoi ses agresseurs se sont montrés aussi violents alors qu’elle n’était pas en mesure de leur résister. Elle a déposé plainte.

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C’est ce rêve éveillé qui a été fracassé lundi soir. « Je pensais qu’à Sarcelles, j’étais en famille. Parmi mes clients, j’ai des gens de toutes les communautés et ça se passe très bien », souligne-t-elle. Aujourd’hui la méfiance a envahi son esprit. Elle se demande si elle s’est trop exposée en ligne, si c’est un de ses clients qui est à l’origine de tout ça. « C’est sûr qu’ils m’ont repérée. Ils m’ont attendue. Est-ce qu’ils vont s’en prendre à mes employés ? Est-ce que c’est parce que je suis juive ? Je n’ai pas envie de dire que c’est antisémite parce que je n’ai pas envie d’y croire », explique-t-elle.

Son questionnement bute sur les incohérences de cette agression. « On sait qu’ils voulaient ma montre, d’accord, mais pourquoi tu me frappes ? Pourquoi tu me laisses par terre sans mes chaussures, à côté des déchets, sous la pluie comme une malpropre ? » s’interroge-t-elle. Elle a senti que ses agresseurs étaient plutôt jeunes, mais en aucun cas elle se voyait leur résister. « Pourquoi cette violence ? Pourquoi seulement la montre ? Ils me l’auraient demandée je la leur aurais donnée et mon sac avec », conclut-elle.

Le Parisien

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