À un interlocuteur qui l’interrogeait, au cœur du mois d’août, sur la rentrée très personnelle organisée par Gérald Darmanin dans son fief de Tourcoing, Elisabeth Borne a rétorqué sèchement au bout du fil : « Qu’il s’occupe des Soulèvements de la terre ! » C’était juste après que le Conseil d’Etat a retoqué en référé la dissolution du collectif écologiste, voulue par le ministre de l’Intérieur. Faut-il préciser que Darmanin n’a pas invité sa supérieure hiérarchique à son raout nordiste ?
