
Ne pas avoir un mot pour la victime entre la vie et la mort.
— Amine El-Khatmi (@Aminelkhatmi) August 12, 2023
Se précipiter pour s’insurger contre une possible stigmatisation du bourreau.
C’est lamentable ! https://t.co/HM3fSLaMs3
Il y a quelques jours, j’écrivais un article pour Le Figaro sur ces familles de victimes qui se sentent abandonnées, oubliées, invisibilisées, notamment par la classe politique.
— Guillaume Poingt (@guillaumepoingt) August 12, 2023
Encore une triste illustration ici : aucun mot pour la victime du #viol barbare à #Cherbourg. https://t.co/img5afl1ZX
Pas un mot pour la victime.@faureolivier vous avez toute ma haine et vous n’êtes définitivement pas un de mes compatriotes.#Cherbourg https://t.co/jlXUoUTp8V
— Fernand Naudin (@monsieurnaudin) August 12, 2023
Pas un petit mot pour les victimes avant votre logorrhée immigrationiste ? Essayez au moins de faire semblant, non ?#Cherbourg https://t.co/FGPt95IxDP
— Laure Lavalette (@LaureLavalette) August 12, 2023
Une pensée pour la victime déjà.😑
— Abdoulaye Kanté👮🏿♂️🇨🇵🇲🇱 (@AbdoulayeK3) August 12, 2023
La gauche c’est ça : toujours penser aux criminels avant de penser aux victimes. https://t.co/ta3qSX6vxD
— Philippe Vardon (@P_Vardon) August 12, 2023
Pas un mot pour la victime qui est entre la vie et la mort. Personnellement elle ne quitte pas mes pensées. Mais le seul angle qui intéresse ces politiques : une polémique sur le racisme. 🤢 https://t.co/YKfHfK4CB2
— Hélène Laporte (@HeleneLaporteRN) August 12, 2023
Ça serait bien un jour de penser aux victimes. Juste une fois.
— Alice Cordier (@CordierAlice2) August 12, 2023