À Paris et en région parisienne, des scènes de pillage se sont produites lors de cette troisième nuit de violences urbaines. Martine, propriétaire d’une boutique de vêtements d’occasion en a été victime.
« Ils m’ont presque tout pris, avec une violence que je ne comprends pas », déplore Martine qui n’en revient toujours pas. Dans la nuit de jeudi à vendredi, sa boutique de vêtements a été vandalisée. Sur le sol, les débris de sa porte sont toujours là. Son magasin a été pillé. « On m’a pris trois sacs Chanel, sans compter les ceintures, les sautoirs… », déplore la gérante de cette boutique de seconde main, qui chiffre le préjudice aux alentours de 20 000 euros et craint de ne pas être remboursée par les assurances.
