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La première ministre avait connu cette association l’an passé lors d’un déplacement aux Mureaux l’an passé

Voilà neuf ans que l’association Rêv’Elles existe. Elle est née du constat que les jeunes filles de milieu modeste, dans les lycées de quartiers prioritaires, n’osaient pas prendre la parole en classe en présence des garçons. Un «manque de confiance» flagrant. «Entre 14 et 20 ans, elles n’ont pas les mêmes chances, les mêmes réseaux, la bonne adresse de résidence, détaille Athina Marmorat, fondatrice de Rêv’Elles. Elles ne choisissent pas leurs études secondaires et finissent par trouver des métiers peu satisfaisants. Dans ces quartiers, une femme sur deux se retrouve en dehors de l’emploi contre une femme sur trois ailleurs. Une femme sur quatre est en situation de précarité, contre une femme sur dix dans le reste de la population.»

Libe 

Merci à Bouli

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