Fdesouche

09/02/23

Le 17 février 2021, Julien Odoul avait accusé sur un plateau télé Damien Abad de s’être affiché dans une mosquée d’Ambérieu-en-Bugey qu’il qualifiait de salafiste. Attaqué en diffamation par le député de l’Ain, Julien Odoul a été relaxé le 8 février.

Les magistrats devaient juger ce délit particulier, dit « de presse », qu’est la diffamation publique, soumise au régime de la loi sur la Liberté de la presse du 29 juillet 1881. Et donc déterminer ce qui, en l’espèce, relevait du débat politique, de la polémique et de l’outrance qui peut l’accompagner, et ce qui relevait de la diffamation.

Damien Abad réclamait un euro de dédommagement à titre symbolique.

Le tribunal avait mis sa décision en délibéré au 8 février. Il a relaxé Julien Odoul, au titre d’un manquement procédural, la loi sur la presse étant particulièrement pointilleuse en la matière.

Le Progrès

17/02/21

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