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15/03/2024

Placé en garde à vue, Ali Gandega va tout reconnaître d’emblée, devançant même les questions sur la fillette. Une franchise qui va vite tourner au malaise, tant l’homme apparaît sans filtre : s’il a agi ainsi, justifie-t-il, c’est parce qu’il voulait « faire l’amour ». Il en a souvent envie, d’ailleurs. Y compris là, en garde à vue, explique-t-il. Et comme il n’a pas de petite amie, il est bien « obligé » de violer.

L’enquête a établi que le 26 juillet, veille des agressions sur les deux dames, il s’était rendu chez une connaissance où il avait tenté d’abuser d’une jeune fille de 16 ans, qui l’avait repoussé. Lui présente cela plutôt comme une proposition. Il en a tiré cette conclusion : « j’ai décidé de ne plus demander (…) et de faire ce que j’avais à faire ».

Le Parisien

09/05/2023

02/12/2022

Nanterre (92) : deux patientes âgées de 70 et 78 ans violées à l’hôpital, une fillette de 12 ans violée deux jours plus tard par le même homme, un migrant congolais (MàJ : témoignage de la fille de l’une des patientes violées)


26/11/2022

Nanterre (92) : deux patientes âgées de 70 et 78 ans violées à l’hôpital, une fillette de 12 ans violée deux jours plus tard par le même homme, un migrant congolais

EXCLUSIF. Cette patiente de 78 ans a été violée en juillet au sein de l’hôpital Max-Fourestier de Nanterre (Hauts-de-Seine) par un homme qui a fait trois victimes en deux jours. Elle a déposé plainte pour mise en danger de la vie d’autrui contre l’établissement.

(…) Sophie, la fille d’Agnès, n’est avertie qu’en début d’après-midi. « Votre maman a eu un petit souci, voilà ce qu’on m’a annoncé, se souvient-elle. Ce n’est qu’une fois sur place qu’on m’a parlé de viol. J’étais scotchée. » Instinctivement, Sophie demande s’il y a d’autres victimes. Silence. Elle apprendra finalement, « par des bruits de couloir » et des articles de presse, que l’homme en question a, en effet, récidivé moins de trente minutes après, en précipitant au sol une retraitée de 68 ans qui rejoignait son Ehpad, également situé dans l’enceinte de l’établissement… Celle-ci a également été violée.

(…) Quelques jours avant les faits, Agnès s’était en effet plainte qu’on l’espionnait dans l’entrebâillement des fenêtres et avait insisté pour les garder fermées, en dépit des fortes chaleurs. Avait-il fait des repérages ? « J’ai eu le sentiment qu’il connaissait les lieux, il semblait à l’aise. C’est ça qui m’a fait le plus peur », témoigne encore la vieille dame, qui a entamé une psychothérapie pour surmonter son traumatisme.

(…) À l’époque, l’agresseur court encore. Ce SDF de 27 ans sera finalement interpellé le 9 septembre, presque par hasard, en train de frauder, gare de Lyon à Paris. Ses empreintes génétiques permettront de lui attribuer un troisième viol, commis deux jours après ceux de l’hôpital, toujours à Nanterre. L’homme avait repéré une fillette de douze ans depuis la rue, avait réussi à se glisser dans l’appartement par une fenêtre, l’avait enfermée à clé, étranglée, et lui avait imposé plusieurs actes sexuels avant de prendre la fuite. Un violeur en série présumé, qui a reconnu en garde à vue agir sous le coup de « pulsions » en ciblant des populations vulnérables. « C’est terrible, tout ça aurait pu être évité… », lâche Agnès en secouant la tête.

(…) Le Parisien


12/09/2022

Un homme soupçonné d’avoir violé fin juillet deux patientes de l’hôpital de Nanterre, puis une fillette deux jours plus tard dans un autre quartier de la ville, a été mis en examen et écroué samedi, selon le parquet de Nanterre sollicité par l’AFP.

(…) D’après le journal «Le Parisien», qui avait révélé son interpellation, l’homme âgé de 27 ans, est de nationalité congolaise et sans domicile fixe. Il est soupçonné d’avoir violé deux patientes, âgées de 78 ans et de 70 ans, au sein de l’hôpital Max-Fourestier dans la matinée du 27 juillet, à trente minutes d’intervalle. Puis deux jours plus tard, une fillette de 12 ans dans le quartier Zilina-Chemin.

Tribune de Genève


10/09/2022

Un homme de 27 ans soupçonné d’avoir violé deux patientes âgées dans les Hauts-de-Seine, fin juillet, vient d’être interpellé à Paris. Son ADN a révélé qu’il aurait aussi abusé d’une fillette quelques jours plus tard.

Fin de cavale pour le violeur présumé de l’hôpital de Nanterre (Hauts-de-Seine). Le suspect a été interpellé, ce vendredi matin à la gare de Lyon à Paris, par les policiers de la brigade des réseaux franciliens.

Il est 7h20 ce matin-là lorsque les fonctionnaires s’approchent d’un homme assis qui se trouve dans le hall du RER en direction de la ligne 1 du métro pour le contrôler. « Ils lui ont demandé ses papiers d’identité mais il n’en avait pas », explique une source proche de l’affaire. Également sans adresse, le SDF donne tout même son nom et une rapide vérification permet aux agents de l’identifier comme un ressortissant congolais sous le coup d’un mandat de recherche lancé par un magistrat du tribunal de Nanterre (Hauts-de-Seine).

[…]

« Un rapprochement avec son ADN a également permis de lui imputer le viol d’une enfant de 12 ans commis quelques jours plus tard à Paris », confie une source proche de l’affaire. Il est encore aujourd’hui entre les mains des enquêteurs de la police judiciaire et devrait être déféré au palais de justice ce dimanche matin.

Le Parisien


09/08/2022

Deux femmes âgées de 68 et 77 ans hospitalisées à Max-Fourestier à Nanterre, dans les Hauts-de-Seine, ont été violées à trente minutes d’intervalle dans la matinée du mercredi 27 juillet par un individu qui se trouvait à l’intérieur du centre hospitalier.

En fuite, les enquêteurs du commissariat de Nanterre sont actuellement à la recherche du suspect, comme l’a confirmé des sources concordantes à l’AFP. Selon ces mêmes sources, l’individu était étranger au centre hospitalier.

CNews

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