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45% des résidences principales d’Ile-de-France entraient, en 2018, dans l’une des trois classes énergétiques G, F ou E. Un chiffre qui monte à 55% pour les logements locatifs privés.

Environ la moitié des logements d’Ile-de-France sont menacés par la future interdiction de louer des biens énergivores, révèle une étude de l’Insee et de l’Institut Paris Région parue jeudi. En vertu de la loi Climat et résilience, les logements les plus énergivores, sous le seuil de l’indécence énergétique, ne pourront plus être loués à partir du 1er janvier 2023. Suivront, en métropole, l’ensemble des logements de classe énergétique G en 2025, puis les F en 2028 et les E en 2034.

Selon l’étude, 45% des résidences principales d’Ile-de-France entraient, en 2018, dans l’une de ces trois classes énergétiques. Un chiffre qui monte à 55% pour les logements locatifs privés, et à 48% pour les logements occupés par leur propriétaire. Les logements sociaux, gérés de façon plus centralisée, sont les meilleurs élèves avec seulement 29% d’étiquettes E, F ou G.

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BFM

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