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11/07/23

Suite à la plainte déposée par la militante EELV Claire Monod, une enquête concernant son inscription sur les listes électorales parisiennes a été ouverte

Une enquête au sujet de l’inscription de Sandrine Rousseau sur les listes électorales parisiennes a été ouverte. Celle qui a été investie pour les législatives en 2022 est visée par une plainte déposée par la militante Europe Ecologie-Les Verts (EELV) Claire Monod.

L’enquête a été ouverte début juin pour inscription indue sur une liste électorale par déclaration frauduleuse ou faux certificat et confiée à la Brigade de répression de la délinquance faite aux personnes, a précisé le parquet, confirmant une information de Paris Match. « Que la justice fasse son travail. C’est très bien », a réagi auprès de l’AFP Sandrine Rousseau, précisant ne pas avoir été informée de l’ouverture de cette enquête.

« Nous espérons que l’enquête sera rapide, afin que toute la lumière soit faite sur les conditions de l’élection de Sandrine Rousseau », a souligné Jérôme Karsenti, avocat de Claire Monod. Cette enquête fait suite à la plainte déposée mi-juin par la militante écologiste dénonçant « l’inscription indue sur les listes électorales » de Sandrine Rousseau.

(…) 20minutes.fr


23/03/22

Législatives: parachutage contesté de Sandrine Rousseau dans le XIIIe à Paris

Dimanche, Europe Ecologie-les Verts a validé l’investiture de Sandrine Rousseau dans la neuvième circonscription de la capitale, entérinant son poids politique et médiatique, mais faisant fi du choix des adhérents pour Claire Monod lors de deux consultations locale et nationale. 

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«Vieilles pratiques»

Forcément, le choix d’EE-LV fait tousser Claire Monod. L’ancienne élue francilienne dénonce, auprès de Libération, le parachutage en bonne et due forme d’une personnalité qui a fait toute sa carrière politique (locale) dans le Nord. La pratique est pourtant répandue dans tous les partis à chaque législative. La situation politique prime, bien souvent, par rapport aux lieux de résidence ou d’origine des candidats au moment des investitures. Pour autant, dans le cas de Sandrine Rousseau, Claire Monod dénonce un manque de cohérence entre les messages portés par l’écoféministe sur la nécessité de changer la manière de faire de la politique et son choix de se laisser aller à de «vieilles pratiques».

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L’article dans son intégralité sur Libération

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