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L’ex-secrétaire général de l’UMP Philippe Douste-Blazy annonce, comme en 2017, son soutien à Emmanuel Macron. Selon l’ancien ministre de Jacques Chirac, la France a « besoin de stabilité et d’expérience ».

Quel candidat soutiendrez-vous à la présidentielle  ?

Les résultats de cette élection seront scrutés par tous, particulièrement en Europe et en Russie, mais aussi aux Etats-Unis et en Chine. Plus nous serons unis, plus la parole de la France sera forte. S’il faut évidemment que le débat présidentiel ait lieu, je pense qu’il faut se rassembler derrière le chef de l’Etat. C’est pourquoi je soutiens Emmanuel Macron . Dans ces temps si sombres, nous avons besoin de stabilité et d’expérience. Cette guerre aux portes de l’Union européenne souligne aussi l’importance du combat qu’Emmanuel Macron mène personnellement depuis le début de son mandat en faveur d’une défense européenne.

Pourquoi ne soutenez-vous pas la candidate de votre ex-famille politique, Valérie Pécresse  ?

J’ai du respect pour Valérie Pécresse, mais la primaire de droite, si elle a été particulièrement digne, a montré où était le centre de gravité des Républicains. Ce n’est pas l’UMP que nous avons construit en 2002 avec Alain Juppé. Dans sa lettre de candidature, le président Macron reconnaît par ailleurs ses échecs et c’est à mes yeux ce qui lui permettra de réussir pleinement son deuxième mandat. Il doit ressembler au deuxième mandat du SPD allemand dans les années 2000, qui avait permis la libéralisation du marché du travail.  […]

Le JDD

L’ancien numéro deux du PS et ex-ministre du Travail, François Rebsamen, a annoncé samedi qu’il voterait Emmanuel Macron à l’élection présidentielle, “aucun autre” candidat n’étant “plus compétent“.

C’est un choix d’évidence. Aucun autre candidat ne semble aujourd’hui plus compétent“, a déclaré à l’AFP le maire de Dijon, confirmant une annonce faite au quotidien Le Parisien à paraître dimanche.

Emmanuel Macron a “l’envergure et la crédibilité d’un chef d’État. Il l’a prouvé chaque jour alors que nous sommes en guerre”, a expliqué ce proche de l’ancien président socialiste François Hollande.

L’édile a tenu à préciser qu’il ne visait pas de poste de ministre en cas de victoire à la présidentielle du président sortant, expliquant ne “demander rien” pour lui-même.

bfmtv

Merci à Tara King

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