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05/02/2022

Le verdict est tombé après trois heures de délibération ce vendredi. La cour d’assises de Seine-Saint-Denis a reconnu Rifat Abbas, Soudanais aujourd’hui âgé de 34 ans, coupable du meurtre d’Audrey Coignard, avec la circonstance aggravante d’avoir été son concubin. L’accusé a été condamné à vingt ans de réclusion criminelle.

Le Parisien

04/02/22

Trente ans de réclusion ont été requis ce vendredi contre un homme jugé aux assises de la Seine-Saint-Denis pour le meurtre de son ancienne compagne, une étudiante en médecine de 27 ans tuée à l’arme blanche à Saint-Ouen en 2019.

(…)

Son avocate, Me Chloé Arnoux, a appelé la cour à juger son client à l’aune de sa vie « misérable » et des traumatismes subis lors de son parcours migratoire chaotique passé notamment par la Libye où il a été torturé.

(…)

Même les animaux, « on ne les tue pas comme ça. On les tue en les respectant », avait déploré mercredi à la barre le frère agriculteur de la victime, partie civile aux côtés de la famille venue à l’audience avec des portraits de la jeune femme. Le verdict est attendu ce vendredi soir.

Le Parisien

01/02/22

Mardi 1er février, le procès aux assises de Seine-Saint-Denis du meurtrier présumé de l’Ornaise Audrey Coignard, 27 ans, victime d’un féminicide, s’ouvre. 

(…) Tendance Ouest

31/01/22

Militante et étudiante en médecine passionnée, Audrey était toujours prête à soutenir sa famille, ses ami·e·s et les personnes qu’elle croisait sur son chemin. Toujours souriante et à l’écoute, Audrey était pleine d’audace et de créativité, déterminée et courageuse. Elle ne comptait pas son temps et son énergie pour soulager la douleur des autres.

Et ses amies de poursuivre : « Femme d’action et de terrain, elle n’hésitait pas à courir à l’appel du besoin ; ici pour faire des points de suture en pleine nuit, là-bas pour tenter d’apaiser les angoisses des autres en les accompagnant. Forte de ses convictions, elle vivait son idéal de partage pour l’autonomie individuelle et collective. Elle inspirait ses proches chaque jour. »

« Audrey luttait en faveur d’une société solidaire et égalitaire »

« Le féminicide d’Audrey nous a sidérées autant que révoltées. Et nos luttes, pour les idéaux qu’elle incarnait, s’en trouvent renforcées. »

« Audrey luttait en faveur d’une société solidaire et égalitaire. A l’instar de ses engagements, écouter les victimes de violences, de traumatismes, rendre accessibles des lieux d’écoute, de répit, organiser des réseaux de solidarité et de lutte nous apparaît indispensable. »

La construction d’une société plus juste et moins violente passe par une libération de la parole et une éducation pour tous·tes en faveur de relations sociales, affectives et sexuelles libres, égalitaires et consenties. Prévenir les féminicides passe par la déconstruction des mécanismes de domination du patriarcat et par une prise en charge des auteurs de violences.Anissa, Emilie et Métilde

Non à une récupération

« Il allait de soi pour Audrey de s’engager auprès de ses semblables en s’adressant à elle·eux d’égal à égal, considérant que chacun·e mérite un traitement digne par delà les frontières. La mémoire d’Audrey ne saurait supporter une récupération xénophobe et raciste.

Dans cette épreuve, nous continuons d’apporter notre plus grand soutien à sa famille et à ses proches. »

L’Orne Combattante

04/10/19

Un homme de 32 ans a été mis en examen pour homicide volontaire par personne étant partenaire de la victime et placé en détention jeudi après le meurtre d’une interne en médecine à Saint-Ouen, a appris l’AFP auprès du parquet de Bobigny.

L’auteur présumé, en situation irrégulière, est né au Soudan et a été interpellé mardi à Paris, selon une source proche de l’enquête.

Le Figaro

L’homme de 32 ans a été interpellé mardi à Paris. Il serait l’ex-compagnon de cette jeune femme de 27 ans.

Les soupçons s’étaient rapidement portés sur l’ex-compagnon, un homme d’origine soudanaise, déjà connu pour des faits de violence.

leparisien.fr


23/09/19

Le parquet de Bobigny et la police judiciaire de Seine-Saint-Denis mènent l’enquête, qui se dirigerait vers son ex-compagnon, connu des services de police pour des violences. A l’heure qu’il est, il est toujours en fuite. (

France 3

Des témoins décrivent « un homme âgé d’origine étrangère d’une trentaine d’années, d’allure plutôt marginale » (Le Parisien)


Audrey Coignard, âgée de 27 ans, a été tuée à coups de couteau lundi 16 septembre 2019 à Saint-Ouen près de Paris. Originaire de Flers (Orne), elle était aussi passée par l’université de Caen (Calvados).

[…]

Elle avait également fréquenté la fac de médecine de Caen et accompagné les migrants de Caen et Ouistreham, au sein de l’AG de lutte contre toutes les expulsions, selon le Mouvement de la Jeunesse Caennaise qui souligne son “humanité rare“.

[…]

Tendance Ouest 



22/09/19

(…) Audrey, c’est cette jeune femme décédée lundi 16 septembre 2019 après avoir reçu 14 coups de couteau à son domicile.

Actu.fr


18/09/19

La scène était difficilement soutenable. La victime baignait dans une mare de sang. Elle avait le buste adossé à un mur de la chambre. Une autopsie ordonnée ce mardi permettra d’en savoir plus sur les causes du décès.

Promise à un brillant avenir, Audrey poursuivait sa seconde année d’internat en pédiatrie à l’hôpital Jean-Verdier de Bondy. « C’était une étudiante très appréciée, très engagée, une très bonne interne qui faisait l’unanimité parmi ses maîtres de stage. Elle se destinait à la médecine générale ».

(…) Parmi les suspects figure un homme qui séjournait régulièrement dans l’appartement de la jeune femme. (…) Quelles relations unissaient l’étudiante en médecine à cet homme ? Des témoins décrivent « un homme âgé d’origine étrangère d’une trentaine d’années, d’allure plutôt marginale ». « Une fois je l’ai vu dans la rue, il chantait tout seul et était dans un sale état, je l’ai reconnu grâce à son vélo », raconte cette femme.

Le Parisien


17/09/19

[…]

La victime, âgée de 27 ans, était interne en médecine dans un hôpital du département, selon l’Agence France Presse. Son corps présentait plusieurs plaies par arme blanche.

[…]

France Bleu

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