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Fin de la prise d’otages à Paris (12e arr.) : les deux femmes libérées, l’assaillant tunisien interpellé (MàJ)

21/12/2021

INFO ACTU17. Un homme de 56 ans retenait deux femmes en otage dans un commerce du 12e arrondissement de Paris, rue d’Aligre, depuis 15h15 ce lundi selon nos informations. L’une des otages a été libérée dans la soirée, la seconde ce mardi matin. Il n’y a pas de blessé, l’auteur a été interpellé.

08h20. « Le preneur d’otage a été interpellé. Il n’y a pas de blessé », annonce le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin, qui remercie les policiers pour leur intervention. L’auteur, un Tunisien de 56 ans, connu pour ses troubles psychiatriques, affirmait avoir été victime d’une tentative d’empoisonnement comme l’a révélé Actu17 et disait qu’il voulait être reconnu comme victime à ce titre. L’homme, qui vit dans un foyer du XIe arrondissement, devrait faire rapidement l’objet d’un examen de comportement afin de déterminer si son état de santé est compatible avec une garde à vue.

Actu 17


20/12/2021


A la suite de la prise d’otage dans le 12e arrondissement, le garde des Sceaux a fait savoir aux négociateurs qu’il se tenait à leur disposition. Selon Europe 1, le preneur d’otage est un magistrat tunisien, Abderaman B.J.

J-M Morandini





Europe 1 a appris de source policière qu’une prise d’otages dans un commerce du 12ème arrondissement de Paris est en cours. Deux personnes sont actuellement séquestrées. Le preneur d’otage est un individu connu dans l’arrondissement pour avoir des troubles mentaux.

Une prise d’otage dans un commerce du 12ème arrondissement de Paris est en cours. Deux femmes sont actuellement séquestrées dans une échoppe de la rue d’Aligre. Le preneur d’otage est un individu connu dans l’arrondissement pour avoir des troubles mentaux. Il est en possession d’une arme blanche. Il demande à voir Éric Dupond-Moretti, le ministre de la justice. La Brigade de recherche et d’intervention est sur place.

Europe 1


En lien :

Qu’est-ce que l’affaire Omar Raddad?

L’affaire Omar Raddad est une des affaires criminelles les plus énigmatiques et controversées de France. Elle commence en 1991 avec la découverte du cadavre de Ghislaine Marchal, une riche sexagénaire tuée à coups de chevron de bois et de couteau, dans la cave de sa villa de Mougins (Alpes-Maritimes). Sur place, deux inscriptions ont été laissées en lettres de sang, dont la célèbre “OMAR M’A TUER” (sic). Elles conduisent les enquêteurs vers Omar Raddad, le jardinier de la victime, qui nie fermement les faits.

Le Marocain de 29 ans est néanmoins inculpé d’homicide volontaire puis condamné en 1994 à 18 ans de réclusion criminelle. Bénéficiant d’une grâce partielle accordée par Jacques Chirac, il sort de prison en 1998, mais n’est pas innocenté pour autant. Son avocat, Jacques Vergès, dépose donc une requête en révision l’année suivante.

(…)

Le JDD

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