À 4 contre 15, le calcul est vite fait. Alors qu’il faisait encore clair en plein mois de juillet, juste en dessous des hauts-fourneaux. Notre témoin et ses amis se laissent faire, de peur de se faire massacrer, les agresseurs les menacent avec un couteau, un de ses amis a même été frappé plusieurs fois au visage. Il continue son récit: “j’avais vraiment très peur pour ma vie, si je faisais un seul faux mouvement, ils auraient pu me poignarder. Ils nous ont tout volé, se sont retournés et nous ont dit de ne rien dire“.
Les agresseurs, très jeunes pour la plupart, s’exprimaient tous en luxembourgeois et 14 d’entre eux étaient d’origine nord-africaine. Le seul agresseur d’origine européenne a frappé une des victimes plusieurs fois après s’être exclamé “ne pas avoir correctement visé“. Les lunettes d’une des victimes ont été cassées par plusieurs coups dans le nez.
[…]Les autorités expliquent tout faire pour éviter l’augmentation de la brutalité et des bandes organisées au Luxembourg, comme on peut le constater dans les pays voisins comme par exemple aux Pays-Bas.
[…]L’article dans son intégralité sur RTL édition luxembourgeoise
