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Grâce au parc de 93 caméras, disposées surtout en centre-ville et les points jugés « problématiques », les six agents du centre peuvent désormais constater les infractions et prévenir la police municipale. Cette dernière intervient ensuite pour prendre les auteurs en flagrant délit dans « un délai très court ».

Pour l’instant, la vidéosurveillance est opérationnelle de 8 à 17 heures. En moyenne, cela correspond à 200- 300 infractions constatées par jour. « L’objectif à l’avenir, c’est que le centre soit actif jusqu’à 2 heures du matin. Cela permettrait de constater jusqu’à 500 infractions par jour », calcule Narik Iv Huot.

Pour l’élu, cet outil permet une meilleure connaissance de la ville sur les délits mais aussi « sur les questions de prostitution ou celles de la place des femmes dans l’espace public ». « La vidéosurveillance lutte contre le harcèlement de rue en gardant en mémoire les faits et en identifiant les harceleurs », souligne-t-il.

Le Parisien

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