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Dans une longue enquête parue ce dimanche 10 janvier, Le Figaro dévoile l’extraordinaire influence prise par les mouvements indigénistes et racialistes à SciencesPo Paris. Au point que certains élèves et professeurs se sentent menacés.  

« On se demande même s’il n’est pas dangereux d’en parler, d’alerter les gens sur ce qui est en train de se passer », raconte un étudiant dont Le Figaro a été obligé de changer le nom, pour éviter les représailles. Témoigner anonymement, éviter les représailles : ce serait presque devenu la norme à Sciences Po Paris, pour peu qu’on ait le malheur de ne pas apprécier les thèses racialistes, indigénistes ou décoloniales. « Depuis quelques mois, nous avons franchi un cap très inquiétant » poursuit l’étudiant interrogé. Selon lui, différentes organisations promouvant les idées susnommées auraient profité du confinement pour accroitre leur emprise sur la célèbre école parisienne. Suscitant à plusieurs reprises la polémique, tantôt au moyen d’une liste de lecture très connotée, tantôt en réclamant l’organisation de cours obligatoires sur la « théorie critique de la race » et le privilège blanc. 

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« Comment voulez-vous travailler avec des gens qui vous disent que, parce que vous êtes Blanc, vous n’avez pas le droit de participer à la discussion ? » 

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