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Tokyo a décidé de relâcher de centres de rétention des centaines d’étrangers sans visa. La fin du rêve de certains de travailler dans l’empire du Soleil-Levant.

«Je veux rentrer chez moi » Line (prénom d’emprunt) est une trentenaire vietnamienne. Elle a échoué à Tokyo il y a plusieurs jours. Sans argent ni logement fixe, elle vivote dans une chambre d’hôtel avec deux autres personnes dans la même situation. Elle n’a plus qu’une envie : retourner au Vietnam. Le Japon rêvé, c’est fini : « Je regrette d’être venue », dit-elle au Point. À l’avant-veille du Nouvel An, avec seulement l’équivalent de 30 euros en poche, n’ayant droit à aucune aide sociale, pas d’assurance maladie non plus, elle est venue prendre conseil auprès d’avocats. […]

Le zoom de l’actualité; Le Point

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