#NousToutes organise depuis quelques mois des formations sur les violences sexistes et sexuelles.
— #NousToutes (@NousToutesOrg) November 14, 2020
Dans ces formations généralistes, nous abordons parmi d'autres thèmes la question de l’intersectionnalité et les travaux de Kimberlé Crenshaw. pic.twitter.com/eqThjAF7Bt
Etant en contact avec Jules Falquet, chercheuse, maîtresse de conférence en sociologie, elles lui ont proposé d’animer une formation sur la multiplicité des mécanismes de domination et de violences sexuelles, son sujet de recherche depuis des années.
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Parler du racisme et d’intersectionnalité sans donner la parole aux premières concernées est une erreur.
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En faisant cela, #NousToutes invisibilise de fait – même de manière involontaire – la façon dont ce concept a été inventé puis diffusé par des femmes noires.
Nous aurions dû présenter cette formation, telle que Jules Falquet l'avait initialement pensé, comme un temps d’échange sur ses travaux, déterminants pour comprendre l’imbrication des violences mais aussi pour penser des politiques d’alliances larges dans les luttes féministes.
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Lors des prochaines sessions, nous inviterons des représentantes de ces collectifs féministes pour proposer des formations à plusieurs voix sur toutes ces violences.
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Il n’est pas possible pour un collectif qui se revendique féministe de participer à l’invisibilisation des premières concernées. Merci à toutes celles qui critiquent, bousculent et interpellent #NousToutes. #OnApprendDeNosErreurs
— #NousToutes (@NousToutesOrg) November 14, 2020