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12/09/2020

De source policière, 4.000 à 5.000 manifestants sont attendus à Paris, dont 1.000 personnes potentiellement violentes. 2.300 personnes ont indiqué qu’elles entendaient participer au rassemblement sur les Champs-Elysées, et 7.000 se sont montrées intéressées, selon la page Facebook de l’événement. 

“Il y avait deux manifestations qui consistaient à défiler sur les Champs-Elysées. (…) Il ne peut pas y avoir, sur les Champs, de destruction, de chaos, tout simplement parce que, et les élus m’en ont fait part, les commerçant également, il y a un souci de sérénité sur cette avenue, qui d’ailleurs est également une vitrine de notre pays“, a martelé samedi matin le préfet, rappelant que les manifestations ailleurs que sur les Champs-Elysées étaient autorisées. “J’entends parler de dictature, je note qu’il y a des possibilités de manifestation“, a-t-il estimé

actu.orange

10/09/2020

Les gilets jaunes ont prévu de se mobiliser à nouveau ce samedi, près de deux ans après les premières manifestations. Mais “au vu des risques de troubles à l’ordre public”, le préfet de police de Paris a décidé d’interdire tout rassemblement de personnes se revendiquant du mouvements des gilets jaunes dans plusieurs secteurs.

L’interdiction concerne le quartier des des Champs-Elysées, de l’Assemblée nationale, de Matignon, de Notre-Dame, de la préfecture de police, du forum des Halles, de la gare Saint-Lazare, du Trocadéro et du Champ de Mars.

Un deuxième arrêté de la préfecture de police interdit une manifestation déclarée ce samedi, qui devait se rassembler à l’Arc de Triomphe pour rejoindre les Champs-Elysées. Enfin, une troisième manifestation est également interdite par arrêté préfectoral. Celle-ci devait partir de la place de l’Etoile pour rejoindre la Concorde.

Pour ces deux manifestations, la préfecture justifie l’interdiction en raison de leurs parcours “à proximité d’institutions de la République” et en raison de risques de “troubles à l’ordre public”.

bfmtv

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