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18/02/2020


09/02/2020


08/02/2020



06/02/2020



Ifop


05/02/2020






04/02/2020



Le ministre de l’Intérieur Christophe Castaner a annoncé mardi 4 février que Mila et sa famille étaient sous protection policière à cause des menaces de mort dont la jeune fille fait l’objet.

Christophe Castaner, ministre de l’Intérieur, a affirmé ce mardi 4 février que l’adolescente Mila et sa famille étaient protégées par la police, la jeune fille faisant l’objet de menaces de mort pour avoir critiqué l’islam.

(…) La jeune lycéenne de 16 ans a été prise à partie après avoir publié, sur les réseaux sociaux, une vidéo critique de l’islam.

(…) RTL.fr


03/02/2020

Mila assure que sa vie est «en pause». Elle n’a pas pu réintégrer son lycée de Villefontaine (Isère), près de deux semaines après les faits. « Je n’étais pas en sécurité dans mon établissement. Vu les menaces que j’ai reçues des personnes de mon lycée, j’aurais pu être brûlée à l’acide, me faire frapper. J’étais menacée d’être déshabillée en public, d’être enterrée vivante. J’étais obligée d’abandonner mon lycée », a-t-elle déploré.

Le Figaro






02/02/2020


01/02/2020


30/01/2020

[…] Deux enquêtes avaient été ouvertes : l’une vise toujours les menaces de mort reçues par la jeune adolescente, l’autre avait pour objet de déterminer si les propos de l’adolescente relevaient de la “provocation à la haine” raciale. C’est cette enquête que le parquet a classé sans suite.

Le parquet ajoute que l’enquête “a démontré que les propos diffusés, quelle que soit leur tonalité outrageante, avaient pour seul objet d’exprimer une opinion personnelle à l’égard d’une religion, sans volonté d’exhorter à la haine ou à la violence”.

La seconde enquête ouverte, pour identifier et poursuivre les auteurs des menaces de mort reçues par l’adolescente, est quant à elle toujours en cours.

Cette affaire avait suscité de nombreuses réactions. La Garde des Sceaux Nicole Belloubet a suscité un tollé en estimant d’abord que les propos de la jeune fille relevaient d’une atteinte à la “liberté de conscience”, avant de reconnaître une “maladresse” et défendre le “droit de critiquer une religion”.

FranceTV Info


29/01/2020


28/01/2020




25/01/2020

Céline Pina réagit aux déclarations d’Abadallah Zekri, délégué général du Conseil français du culte musulman :

(…) Or cet homme, qui justifie la violence et l’appel au meurtre au nom de l’offense commise envers les musulmans, n’est pas censé être un islamiste (…) mais un représentant de l’islam traditionnel. Et là, nous nous retrouvons face à un énorme problème. Car que nous dit l’attitude de Abdallah Zekri ? Que la ligne séparant les islamistes des musulmans est en train de s’estomper, voire de disparaître ? Que les islamistes ont gagné la bataille en France ? Que l’islam traditionnel se radicalise ? Que les islamistes se sont emparés de tous les leviers de la représentation des musulmans ? Quelle que soit la réponse, la situation est grave.

(…) Abdallah Zekri a exhibé une identité de vue sur le sujet de la religion et sur le thème du blasphème entre islamistes et musulmans qui détruit l’idée que l’islamisme serait une maladie de l’islam et semble plutôt apporter de l’eau au moulin de ceux pour qui il en est, au contraire, l’expression la plus authentique. Il accrédite ainsi l’idée que si l’islamisme est incompatible avec la démocratie et la République c’est parce que l’islam n’est pas compatible avec l’état de droit, la liberté d’expression et le choix civilisationnel de la loi avant la foi.

(…) Causeur




24/01/2020




23/01/2020



[…] Selon ses déclarations, un jeune homme de confession musulmane lui fait des avances. Elle l’éconduit. Il traite alors la lycéenne, qui revendique son homosexualité, de “sale gouine”. Mila réplique en qualifiant le Coran de “religion de haine” et en ajoutant, “je déteste toutes les religions”. Depuis, Mila a reçu de nombreuses menaces de mort, de viol. Certains internautes, qui l’ont reconnue, ont dévoilé son identité, son adresse ainsi que celle de son lycée. L’affaire a pris de telles proportions que l’adolescente a porté plainte et a été déscolarisée.

Le procureur de la République de Vienne a ouvert une enquête pour “menaces de mort”, confiée à la section de recherches de la gendarmerie, compétente en matière de cybercriminalité. Concernant les propos de Mila, le parquet a également ouvert une enquête, pour “incitation à la haine raciale”.

Mais, d’après les premiers éléments recueillis, “on ne peut pas pour l’instant taxer la jeune fille de racisme”, a indiqué une source proche du dossier à France Bleu Isère. […]

FranceTV Info


22/01/2020

Côté autorités, on est alerté depuis lundi. Le rectorat de Grenoble indique à CheckNews que «la jeune fille est en sécurité» et qu’une «prise en charge physique et psychologique a été faite». La plateforme Net écoute (partenaire du ministère de l’Education nationale en matière de lutte contre le cyberharcèlement) a été désignée pour accompagner Mila et procéder au signalement des menaces et insultes en ligne. «Le recours a Net écoute entraîne automatiquement une saisine de la plateforme Pharos», nous précise-t-on. Le chef d’établissement a également procédé à un signalement auprès du procureur de la République.

Par ailleurs, le rectorat nous confirme que la lycéenne ne s’est pas rendue en cours dernièrement, mais que les forces de l’ordre n’ont procédé à aucune exfiltration. D’ailleurs, la gendarmerie locale et le rectorat disent qu’il n’y a eu aucun problème dans l’établissement concerné, après les menaces formulées sur les réseaux sociaux. «A plus long terme, un accompagnement sera proposé à l’élève et à sa famille, pour la maîtrise de ce qui est posté sur les réseaux sociaux. Pour l’instant, nous appelons au calme.»

Check News


Mila, une jeune fille de 16 ans, subit une vague d’insultes homophobes et de menaces physiques depuis qu’elle s’en est pris à l’islam dans une courte vidéo publiée sur Instagram. Elle a dû renoncer à se rendre à son lycée. Prise à partie par des centaines de comptes, l’adolescente a également vu ses informations personnelles divulguées.

L’adolescente publie à ce moment une vidéo de critique de l’islam, pour le moins vigoureuse : “Je déteste la religion, (…) le Coran il n’y a que de la haine là-dedans, l’islam c’est de la merde, c’est ce que je pense (…).” Dans l’extrait suivant, elle poursuit, s’adressant aux personnes qui la prennent à partie : “Vous m’insultez et vous me menacez de mort, vous n’êtes bons qu’à ça, vous n’avez pas d’éducation, vous êtes nuls, vous servez à rien.”

C’est le début du harcèlement. Insultes homophobes (“espèce de pute de LGBT“), menaces physiques, appels au meurtre (“t’es morte on sait où t’habites“)… “Je recevais 200 messages de pure haine à la minute”, confie Mila au site Bellica.

sale française“, “sale pute“, “sale gouine“… Les menaces prenant un caractère religieux (…)

L’intimidation se fait plus concrète, monte d’un cran : des internautes divulguent des informations personnelles concernant la jeune fille : son nom complet, son adresse, son numéro de portable. Ses comptes de réseaux sociaux et ses adresses mail sont piratées. Certains prévoient de confronter l’adolescente dans son lycée : “Elle est dans mon lycée, c’est une seconde et lundi on va régler ça“, déclare l’un d’entre eux.

(…) Marianne



20/01/2020


Le doxing, ou doxxing, est une pratique consistant à rechercher et à divulguer sur l’Internet des informations sur l’identité et la vie privée d’un individu dans le dessein de lui nuire. Les informations révélées peuvent être l’identité, l’adresse, le numéro de sécurité sociale, le numéro de compte bancaire, etc.

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