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Depuis Mayotte, certains clandestins tenteraient d’embarquer à bord de vols pour Paris avec des documents d’identité qui ne sont pas les leurs. On les appelle les “look alike” (“qui ressemble à” en français), car ils jouent sur des ressemblances physiques. Pour démasquer les fraudeurs, les policiers ont des techniques pour analyser l’écart des yeux ou des oreilles.

Ces clandestins viennent souvent des îles voisines des Comores. Pour se défendre, ils soutiennent parfois avoir grandi et donc changé. En 2018, 165 “look alike” ont été interpellés à Moyotte. Derrière ce phénomène se cache un marché noir où les cartes d’identité françaises se vendent et se rachètent pour plusieurs milliers d’euros. Pour les clandestins, l’objectif est à chaque fois le même : quitter l’île pour rejoindre l’Europe.

Merci à MarcelVincent

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