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Laissée pour compte par les autorités après sept ans d’épreuves, Jennifer raconte au Sunday Mirror pour la première fois comment elle s’est retrouvée avec un casier judiciaire.

Elle a été victime d’un viol collectif, souvent en uniforme scolaire, victime de la traite et retenue sous la menace d’une arme à feu. Son cauchemar l’a tellement brisée qu’elle a tenté de se suicider.

A 16 ans à peine, elle craignait pour sa vie lorsqu’un violeur l’a battue et lui a mis du gravier dans la bouche pour faire taire ses pleurs.

Pendant quatre ans, jusqu’à l’âge de 19 ans, elle est tombée sous le contrôle d’un homme qui la traînait comme un morceau de viande.

Jennifer affirme que la police a refusé d’intervenir et l’a arrêtée à plusieurs reprises pour prostitution entre 16 et 19 ans, malgré son plaidoyer pour expliquer qu’elle était exploitée.

Mirror

Une Britannique s’est exprimée pour la première fois à propos de son adolescence durant laquelle elle a été violée par plus de 500 hommes. Dans ce témoignage, elle explique comment elle a été abandonnée par la police et ne voyait plus que la mort comme issue de secours.

Pour préserver sa réelle identité, nous appellerons la dame concernée Jennifer. Elle, qui est désormais une maman de 40 ans, a vécu un véritable enfer dans les années 80, près de Telford. Alors qu’elle n’a que 11 ans, elle est présentée pour la première fois à ses violeurs par un garçon qu’elle fréquente. Celui-ci laisse ses amis violer la jeune fille, et c’est le début d’un cycle terrible d’horreurs. Avec de nombreuses autres filles, elle est droguée, frappée et violée par la bande tous les soirs. Certaines fois, dix personnes se succèdent sans aucun scrupule.

« Je pensais que la seule issue était la mort car j’avais été à la police et ils ne voulaient pas m’aider. Je me suis sentie extrêmement seule et je vivais un vrai cauchemar », explique cette maman au Sunday Mirror. En décrochage scolaire complet, elle parcourt le pays avec un homme plus âgé qui la laisse se faire violer par des étrangers. « Ça lui est arrivé de m’enfermer durant trois ou quatre jours. J’ai eu beau prévenir la police, cela ne servait à rien », précise-t-elle. Si le malfrat a été arrêté, l’affaire a été abandonnée et celui-ci est revenu chez Jennifer pour la menacer avec un shotgun.

Une enquête reprend
Les autorités ont expliqué qu’il était impossible d’identifier les violeurs et que toute nouvelle preuve serait examinée. « Nous demandons à toute personne disposant d’une information à ce sujet de la rapporter auprès des autorités. Les victimes d’abus sexuels dans les années 80 à Telford ont demandé à ce que les termes de l’enquête soient changés et que celles-ci soient entendues dans le cadre de l’enquête. » Plus de trente ans plus tard, la police souhaite donc réparer les dommages causés sur ces nombreuses jeunes filles qui ont survécu à l’enfer.

Metronews


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