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Certains autoentrepreneurs sous-louent leur compte à des migrants sans-papiers. Le phénomène prend de l’ampleur depuis 2018 et pose la question de la responsabilité des plateformes et de l’État.

Depuis plusieurs mois, des livreurs à vélo pédalent en toute illégalité dans les rues des grandes villes françaises. La «combine» est bien connue: certains autoentrepreneurs – travaillant pour des plateformes comme Uber Eats ou Deliveroo – sous-louent leur compte à des migrants clandestins. Une pratique qui est strictement interdite. Les clandestins effectuent les livraisons à la place des autoentrepreneurs déclarés et touchent une commission (environ 50% du montant de la course). Ce phénomène a pris de l’ampleur à partir de 2018. Il est principalement lié à la forte hausse du nombre de demandeurs d’asile et au fait que de nombreux déboutés du droit d’asile restent illégalement sur le territoire national. […]

Le Figaro

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