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Linda* habite en face de l’Usine et dit vivre «en enfer» au quotidien à cause du bruit et des insalubrités engendrées par les dealers. Cette Genevoise observe de près la connivence entre eux et le centre culturel. «Les dealers cachent la marchandise dans l’Usine, ils vont y faire leurs besoins. Les gens de l’Usine les protègent, leur offrent parfois à manger et à boire. Cela leur facilite la tâche.»

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Pour expliquer la bienveillance de la plupart des membres du centre vis-à-vis des trafiquants, Albane Schlechten, porte-parole de l’Usine jusqu’en 2012 évoque le «côté humaniste» de l’Usine […]

Tribune de Genève

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