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Effet pervers d’un « préjugé de genre », elles feraient l’objet d’un traitement plus clément que les hommes.

Attention à ne pas sous-estimer l’engagement et la dangerosité des femmes djihadistes. Tel est en substance l’avertissement lancé par un récent rapport de la direction exécutive du comité des Nations unies contre le terrorisme, dont la patronne est la magistrate belge Michèle Coninsx, ex-présidente d’Eurojust. Le document s’intéresse au retour des « combattants terroristes étrangers » et à la réponse des États face à ce phénomène. Il est constaté que « les femmes ont tendance à être traitées de manière plus indulgente par les systèmes judiciaires, en raison d’hypothèses, souvent fausses, sur leurs influences et leurs pouvoirs limités ». Du fait de ce traitement différencié, ces femmes ont tendance à être livrées plus souvent à elles-mêmes et ainsi à être exposées « à un plus grand risque potentiel de récidive et de reradicalisation ».

(…) Le Figaro

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