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Une ancienne responsable de l’Union des étudiants communistes de Haute-Garonne accuse les dirigeants du PCF 31 d’avoir étouffé plusieurs affaires d’agresssions sexuelles. Les dirigeants démentent.

Le Parti communiste français de Haute-Garonne a-t-il couvert des affaires d’agressions sexuelles allant jusqu’au viol ? Plusieurs femmes, militantes communistes, rapportent ce week-end dans le journal Le Monde des cas d’agressions sexuelles commises ces dernières années au sein des Jeunesses communistes.

L’ancienne secrétaire fédérale de l’Union des Etudiants Communistes (UEC) de Haute-Garonne affirme avoir alerté à de nombreuses reprises les dirigeants du PCF sur les agissements d’un responsable toulousain des jeunesses communistes. La jeune femme parle d’attouchements, de tentatives de baisers forcés et de textos à caractère sexuel. Ces pratiques auraient duré deux ans malgré plusieurs signalements. Encore plus grave, une accusation de viol survient en 2018. Selon Le Monde, le jeune dirigeant communiste aurait alors été convoqué par le secrétaire départemental du PCF Pierre Lacaze, en présence du responsable local des jeunesses communistes et de l’ancienne dirigeante de l’UEC. Selon elle, le jeune dirigeant accusé de viol n’aurait eu droit qu’à des remontrances alors qu’elle avait demandé son exclusion. Deux autres cas d’agressions sexuelles auraient également été étouffées affirme-t-elle par ailleurs.

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La Depeche

 

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