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Violée, poignardée, et dépecée vivante. De nouveaux détails inquiétants concernant la mort de Pamela Mastropietro émergent. Celui qui les révèle est un repenti, Vincenzo Marino, entendu comme témoin principal lors de la seconde audience du procès devant la cour d’assises de Macerata.
Codétenu d’Innocent Oseghale [le suspect nigérian] à la prison d’Ascoli, c’est là que Marino a reçu la glaçante confession du meurtre de Pamela.

Il Giornale

 

Le récit du témoin principal

Marino a témoigné pendant environ trois heures. C’est à lui qu’Oseghale aurait confié avoir tué Pamela, qu’il avait rencontrée dans le parc Diaz et amenée chez lui en lui promettant de lui acheter de l’héroïne. Le premier coup de couteau aurait été porté lors d’une empoignade, parce que Pamela voulait s’en aller. Marino a aussi évoqué un rapport sexuel entre Oseghale et la victime qui était sous l’effet de la drogue. Puis Oseghale serait parti chercher de l’aide, et, une fois rentré à l’appartement, il aurait tenté de démembrer le corps de Pamela, la croyant morte. Mais celle-ci a soudain donné des signes de vie, et c’est alors qu’il l’aurait à nouveau poignardée…

Sky tg24

 

La victime s’était rendue au domicile de l’assassin pour acquérir une dose d’héroïne. Suite aux violences qu’Innocent lui a fait subir, Pamela voulait se sauver et le dénoncer. D’après le récit du témoin, le Nigérian ne voulait pas la laisser partir, voilà pourquoi il l’aurait poignardée au niveau du foie alors qu’elle atteignait la porte de l’appartement.

“Osseghale m’a dit qu’il était convaincu que Pamela était morte, et qu’il a commencé à lui sectionner la jambe. Mais elle a bougé et a émis une plainte, c’est là qu’il lui a donné un nouveau coup de couteau.”

Et Marino a fait référence à une expression utilisée par le tueur lors de sa confession. “Ses os étaient durs.” Le Nigérian a d’abord voulu se débarrasser du corps en l’enfermant dans un sac, mais d’après le repenti, “le corps ne tenait pas dedans, et c’est pour ça qu’il l’a découpée, et qu’il a mis les morceaux dans deux valises.”

Libero Quotidiano

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