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Il avait été interpellé, jeudi, dans une réunion du grand débat national, par une sympatisante des “gilets jaunes” qui déplorait des entraves au droit de manifester.

“Ne parlez pas de répression ou de violences policières, ces mots sont inacceptables dans un Etat de droit.” Emmanuel Macron a affirmé, jeudi 7 mars, qu’il “refusait” l’expression “violences policières” pour décrire les blessures “malheureusement” subies par des participants au mouvement des “gilets jaunes”.

Après des semaines et des semaines, je constate qu’il n’y a aucun mort à déplorer du fait des forces de l’ordre.

Emmanuel Macron

“Je n’aime pas le terme de répression, parce qu’il ne correspond pas à la réalité”, a insisté le chef de l’Etat, qui participait à une réunion du grand débat national à Gréoux-les-Bains (Alpes-de-Haute-Provence). Il avait été interpellé par une sympatisante des “gilets jaunes” qui déplorait des entraves au droit de manifester.

“A chaque fois que quelqu’un a eu à reprocher des violences, il a pu porter plainte, a-t-il estimé. A chaque fois que des écarts ont été constatés, des enquêtes ont été demandées sur le plan administratif par le ministre.” Le chef de l’Etat a rappelé que des “procédures judiciaires” étaient “en cours”.

Francetvinfo.fr

 

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