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“Il s’agit d’une sexualité très fluide dans le sens où il n’y a pas d’attirance pour des organes génitaux spécifiques”, explique la sexologue Debra Laino à Women’s Health. “Au lieu de cela, vous êtes attiré·e par la façon dont les autres personnes perçoivent leur place (ou leur manque de place) dans l’éventail des genres.”

Ce qu’il faut préciser, c’est que la skoliosexualité se vit de façon différente pour tout le monde. Ainsi, une personne skoliosexuelle pourra être attirée uniquement par les personnes transgenres, et une autre plus généralement par celles qui se définissent genderqueer, un “terme qui regroupe toutes les identités de genre volontairement dissidentes en relation ou non avec une volatilité en matière d’orientation sexuelle”, selon Slate.

De plus, ce n’est pas parce que l’on est skoliosexuel·le que l’on est nous-même non-cisgenre ou non-binaire. Notre orientation sexuelle ne détermine pas notre identité sexuelle. On peut très bien être une femme née femme et être exclusivement attirée par des personnes genderqueer. Et c’est tout aussi légitime de ne pas vouloir mettre d’étiquette sur cette attirance.

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TerraFemina

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