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Le 8 décembre dernier, lors d’une conférence organisée par la CIDH, la Commission islamique des droits de l’homme, « la militante politique franco-algérienne Houria Bouteldja a prononcé un discours intitulé ‘Combattre le philosémitisme pour combattre l’islamophobie et le sionisme,’ rapporte l’Institut de recherche sur les médias du Moyen Orient (Memri).

Houria Bouteldja, porte-parole du Parti des indigènes de la République (PIR), résume elle-même son intervention lors de cette commission. Une intervention dans laquelle elle a détaillé ce qui compose l’axe principal de son discours militant: la critique d’un supposé « philosémitisme d’Etat ».

« Nous devons critiquer l’islamophobie radicale et le philosémitisme [NdeFDS : la traduction juste est “nous devons critiquer radicalement l’islamophobie et le philosémitisme…”], qui sont les mêmes visages du racisme d’Etat […] L’idée ici n’est pas de combattre l’islamophobie et l’antisémitisme. L’idée est de combattre l’islamophobie et le philosémitisme. […] De mon point de vue, [cela nous permettra] d’être plus forts contre le racisme et plus forts contre le sionisme. Selon moi, c’est la manière dont nous devons combattre pour être plus efficaces ».
[…] La CIDH, rappelle Memri, « jouit d’un statut consultatif auprès du Département des affaires économiques et sociales des Nations unies depuis 2007, et a récemment participé au lancement d’une boîte à outils anti-islamophobie au Parlement européen et au Royaume-Uni ».

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