C’est un sésame très convoité qui pourrait causer le plus grand des torts à la présidence de la République ; il confirme aussi que le dossier Benalla est bel et bien une affaire d’État. Alors que l’Élysée a assuré ces derniers jours qu’il n’était pas « un émissaire officiel ou officieux » de la République, Alexandre Benalla, l’ancien adjoint au chef de cabinet d’Emmanuel Macron mis en cause par la justice pour « violences volontaires » et dont les fréquentations à l’étranger suscitent de nombreuses interrogations, voyage depuis plusieurs mois avec un passeport diplomatique, selon des informations obtenues par Mediapart.
Vous pouvez aussi aimer
Dans un nouvel enregistrement, Benalla et Crase parlent de détruire des preuves
Mediapart a dévoilé mardi un nouvel enregistrement audio, dans lequel Alexandre Benalla et Vincent Crase évoquent des destructions de preuves dans l’enquête sur les violences du 1er-Mai. Mediapart assure mardi...
Affaire Benalla : un budget de 180 000 euros d’argent public aurait été prévu pour réaliser des travaux dans son appartement de fonction
Passe-droits, travaux somptuaires dans une résidence de la République… Tout lui était permis, jusqu’au sentiment de toute-puissance. (…) Ainsi, Alexandre Benalla s’était vu attribuer un...
Portrait du très sulfureux Marc Francelet, l’entremetteur qui veille sur la communication de crise d’Alexandre Benalla
Premier interview d’Alexandre Benalla, sous haute surveillance de Marc Francelet et… Mimi Marchand. L’Élysée continue de veiller sur son protégé. — Ariane Chemin (@ArianeChemin) July 26, 2018 Marc Francelet...
Benalla s’était vu refuser le port d’armes en 2013. La demande de port d’armes avait été formulée par l’avocat Karim Achoui, fondateur d’une ligue de défense des musulmans
Alexandre Benalla, le collaborateur d’Emmanuel Macron qui a été filmé frappant deux personnes lors des manifestations du 1er mai, s’est vu refuser le port d’armes en 2013 par le ministère de...
Benalla, bientôt de retour à l’Assemblée nationale ?
Le député non-inscrit Joachim Son-Forget, ancien membre de La République en marche, a demandé l’accréditation d’Alexandre Benalla comme assistant parlementaire.
www.lepoint.fr










