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Alors que 2018 touche à sa fin, il est temps de passer en revue les pires cas de citations médiatiques erronées, de récits trompeurs, de corrections majeures et de fausses nouvelles directes.

Alors que les faux reportages de l’an dernier ont été réalisés en grande partie dans le cadre de la quête incessante des médias pour prouver la collusion russe, la liste de cette année est beaucoup plus variée. Cependant, certains thèmes ont émergé : les histoires de Brett Kavanaugh, alors candidat à la Cour suprême, et de la frontière américaine ont été souvent marquées par la désinformation.

Sans plus attendre, voici la liste des pires exemples de fausses nouvelles de 2018 :

1. LE WASHINGTON POST ACCUSE LES GARDES-FRONTIÈRES DE LA MORT D’UN MIGRANT DE 7 ANS

En décembre, le Washington Post a publié un article sur un enfant migrant guatémaltèque de 7 ans, mort en garde à vue lors d’une patrouille frontalière.

Malgré le titre trompeur du Washington Post, qui suggère que la mort de la jeune fille est imputable à la patrouille frontalière, la chronologie complète des événements et les déclarations du père de la jeune fille, qui faisait l’éloge des agents frontaliers, ont révélé une autre histoire.

2. CNN ET THE HILL ONT DIFFUSÉ UNE PLAINTE POUR AGRESSION SEXUELLE CONTRE KAVANAUGH QUI AVAIT DÉJÀ ÉTÉ RÉTRACTÉE.

CNN et The Hill ont tous deux fait état d’une plainte pour agression sexuelle contre Brett Kavanaugh, candidat à la Cour suprême, à la fin septembre, sans jamais mentionner que la plainte avait été rapidement retirée.

Jeffrey Catalan s’est excusé d’avoir commis une ” erreur ” en formulant de fausses allégations contre Kavanaugh, mais CNN et The Hill n’avaient pas pris la peine de noter la rétractation dans leurs articles initiaux. The Hill a par la suite rétracté un tweet qui renforçait l’allégation et CNN a mis à jour son article trompeur.

3. LE BOSTON GLOBE CORRIGE L’HISTOIRE DE LIZ WARREN – LA RENDANT ENCORE MOINS AMÉRINDIENNE

La sénatrice démocrate du Massachusetts, Elizabeth Warren, a publié un test ADN en octobre dans le but de prouver ses affirmations répétées selon lesquelles elle aurait des ancêtres amérindiens.

Le Boston Globe avait d’abord parlé du test ADN en expliquant que Warren aurait entre 1/32e et 1/512e de sang amérindien. Cependant, le journal a finalement publié deux corrections qui ont encore plus mis à mal les affirmations de lignage d’Elizabeth Warren.

“L’intervalle générationnel basé sur l’ancêtre identifié dans le rapport suggère qu’elle se situe entre 1/64e et 1/1 024e de sang amérindien”, a admis The Globe.

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8. CNN DIFFUSE DE FAUSSES STATISTIQUES SUR LES FUSILLADES À L’ÉCOLE

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9. NBC A OCCULTÉ SES INFORMATIONS CONTREDISANT LES ALLÉGATIONS CONTRE KAVANAUGH

Bien qu’ NBC n’ait pas menti, son choix de cacher un élément contredisant les graves allégations d’agression sexuelle contre Brett Kavanaugh, candidat de la Cour suprême, lui a valu une place sur cette liste.

L’avocat de célébrité du porno Michael Avenatti a prétendu connaître une seconde femme pouvant appuyer les allégations de viol collectif portées contre Kavanaugh par sa cliente, Julie Swetnick.

Cette seconde femme avait en fait contredit ses allégations lors d’une entrevue téléphonique avec NBC News le 30 septembre. Mystérieusement, NBC avait choisi de ne pas publier cette information jusqu’à des semaines plus tard et seulement après que Kavanaugh fut confirmé à la Cour suprême.

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16. DES MÉDIAS AFFIRMENT QUE TRUMP AURAIT QUALIFIÉ LE FBI DE CANCER

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18. CNN ET L’HISTOIRE DE LA TRUMP TOWER DÉTRUITE PAR LANNY DAVIS

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21. NPR : DONALD TRUMP JR. AURAIT COMMIS UN PARJURE

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22. NBC NEWS CITE MAL LE SENATEUR CASSIDY, CRÉANT UN FAUX RÉCIT ANTI-TRUMP

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29. LE DAILY BEAST PRÉTEND QUE LES GENS DANS LA CARAVANE DE MIGRANTS N’ONT PAS DE MALADIES

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31. L’ASSISTANTE DE KAVANAUGH AURAIT FAIT UN SIGNE SUPRÉMATISTE BLANC

L’ancienne aide de Brett Kavanaugh, Zina Bash, qui était assise derrière le candidat de la Cour suprême lors de ses audiences, a été accusé d’avoir mimé un symbole de la suprématie blanche à la caméra.

L’accusation provenait d’un clip vidéo qui montrait la main de Bash reposant sur son bras avec le signe “OK”, un symbole que les gens de gauche ont prétendu être en fait un signe du “white power”.

Loin d’être une suprématiste blanche, Bash est mexicaine et juive et ses grands-parents étaient des survivants de l’Holocauste.

“Les attaques d’aujourd’hui contre ma femme sont répugnantes”, a dit le mari de Bash. “Tous ceux qui tweetent cette théorie conspirationniste vicieuse devraient avoir honte. Nous ne connaissions même pas le symbole haineux qu’on lui attribue, elle a posé sa main au hasard pendant une longue audience.”

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32. LES MÉDIAS DISENT QU’OBAMA N’A PAS SÉPARÉ DE FAMILLES À LA FRONTIÈRE.

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Daily Caller

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