Ce type d’affirmation peut caractériser le délit d’apologie du terrorisme prévu et réprimé par l’article 421-2-5 du code pénal :

Le fait de provoquer directement à des actes de terrorisme ou de faire publiquement l’apologie de ces actes est puni de cinq ans d’emprisonnement et de 75 000 € d’amende.

​​Les peines sont portées à sept ans d’emprisonnement et à 100 000 € d’amende lorsque les faits ont été commis en utilisant un service de communication au public en ligne.”.

 

 

POUR CES RAISONS, LE CCIF S’APPRÊTE À ADRESSER UN SIGNALEMENT AU PROCUREUR DE LA RÉPUBLIQUE DE PARIS AFIN QUE CES FAITS NE DEMEURENT PAS IMPUNIS DANS UN CONTEXTE EXTRÊMEMENT PRÉOCCUPANT.