A plusieurs reprises Samya a vu son fils revenir de l’école avec des bleus et égratignures qui lui ont été infligés uniquement parce-qu’il ne fait pas parti du bon quartier. Mais malgré ces agressions celui-ci n’a pas voulu porter plainte. C’est donc Samya qui à pris les devant en allant au commissariat. Depuis la rentrée des classes en 2017 ces situations se sont multipliées. La crainte du drame irréversible hante de plus en plus les enfants du quartier.
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