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Le Ramadan a commencé depuis jeudi, et pour les musulmans de Paris, c’est aussi l’occasion de choisir entre un nombre impressionnant de gâteaux. Mais bien sûr, à déguster à la rupture du jeune, chaque soir à la nuit tombée. “Les Algériens préfèrent les “kalbalouz”, des pâtisseries fourrées, et le “millefeuille”, zlabia et surtout celui de Boufarik, une fabrication 100% algérienne, annonce fièrement le propriétaire de la pâtisserie orientale. Alors que les Tunisiens préfèrent les pâtisseries plus légères, surtout les femmes”.

Ce n’est pas jeuner, ne pas manger et boire, c’est aussi jeuner, pour tout ce qui n’est pas bon en fait, explique une jeune femme. C’est aider les autres, penser aux autres. Mais c’est vrai qu’on a toujours un manque du bled, on essaye de créer une ambiance ici à Paris.

Changement d’ambiance, justement, rue Saint Honoré, dans ce quartier chic de Paris. Ici, on revisite la pâtisserie orientale avec de la mangue, de la guimauve, du praliné, ou du piment d’espelette. Pour une clientèle exigeante. “Notre clientèle a la trentaine, quarantaine, explique la patronne, mais on a aussi des familles qui veulent changer de la cuisine de la maman ou la grand-mère et qui s’offrent une soirée restaurant.

Le Ramadan se terminera le 14 juin pour un milliard de musulmans dans le monde.

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