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La députée conservatrice de Telford estime que la BBC (télévision publique) ne se soucie pas de cette affaire car les victimes sont des Blanches de la classe ouvrière.

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Article de Doulgas Murray datant du 12 mars.

La première page du Sunday Mirror d’hier disait : «Le pire scandale d’abus sexuels sur mineurs de l’histoire de la Grande-Bretagne: des centaines de jeunes filles ont été violées, battues, vendues et certaines ont même été tuées.» Comme les scandales de Rotherham, Rochdale et Oxfordshire. Dans d’autres endroits, il semble que les victimes soient, une fois de plus, des filles britanniques blanches et les auteurs des hommes musulmans, principalement d’origine pakistanaise.

Nous apprenons une fois de plus comment, au cours des quatre dernières décennies, toutes les branches de l’État – y compris les travailleurs sociaux et la police – ont laissé faire ces viols collectifs d’enfants. Et nous apprenons – encore une fois – à quel point la peur des accusations de «racisme» ont fait que les identités des coupables aient été cachées et que les affaires n’ont pas été examinées.

Lorsque l’affaire a éclaté hier, elle a été couverte par une série d’autres journaux, y compris tous les concurrents du Mirror. Mais pas la BBC (télévision publique britannique). Comme l’a noté Ed West.

Ce n’est qu’après un bon nombre de commentaires hostiles à propos de cet oubli que la BBC a mentionné l’affaire cet après-midi. (Westmonster)

(…) Il est maintenant clair que la plupart des personnes occupant des postes d’autorité dans ce pays n’ont jamais voulu que des affaires comme celles de Telford, Rochdale ou Rotherham sortent. (…) Parce que de telles histoires gâchent le discours dominant que tiennent tout une génération de responsables.

Il est plus facile de continuer à essayer de tout couvrir. Et c’est pourquoi il y a maintenant un tel effort concerté pour arrêter, faire taire, bannir, rétrograder les personnes qui évoquent ou luttent contre ces viols collectifs en série. “Pour le bien de la diversité”

(…) The Spectator

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