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Les autorités se sont excusées après qu’il ait été révélé que des gangs de prédateurs sexuels à Newcastle ont pu abuser d’environ 700 femmes et fillettes vulnérables avec une “persistance arrogante” parce que les “allégations” n’ont pas été examinées par la police.

Comme dans d’autres affaires d’abus sexuels massif, les agresseurs, principalement d’origine pakistanaise, bangladaise et indienne, ont utilisé des drogues et de l’alcool pour affaiblir leurs victimes.

Mais contrairement à d’autres scandales, beaucoup des victimes ciblées étaient avaient plus de 18 ans, note le rapport officiel de 150 pages.

Il y a maintenant un «besoin urgent» pour le gouvernement d’entamer des recherches sur les «valeurs culturelles et les attitudes» des gangs d’agresseurs seuxels, ajoute le rapport, appelant les autorités à supposer que des abus se produisent dans chaque ville.

En août 2017, 17 hommes et une femme ont été reconnus coupables d’abus sexuels contre 22 femmes et filles âgées de 13 à 25 ans entre 2011 et 2014, à la suite de l’opération Sanctuary de la police de Northumbria.

L’enquête officielle a constaté qu’il y avait en fait environ 700 victimes de formes similaires d’exploitation sexuelle dans l’ensemble de la zone de Northumbria, dont 108 dans la ville de Newcastle.

Dans ce rapport, il y est affirmé que les agresseurs n’ont pas «systématiquement fait l’objet d’enquêtes et de poursuites» avant 2014, et note que «les premières réponses semblaient blâmer les victimes pour leur comportement plutôt que leurs bourreaux».

Telegraph

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