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7/1/18

Le rappeur Ismaël Metis a décidé d’annuler sa participation au “Moussem Festival”, en solidarité à Abdelaziz Chaambi, président de la Coordination contre l’islamophobie (CRI), et Sonia Nour, de la mairie de La Courneuve, qui ont été exclus du festival suite à la pression politique de groupes racistes et islamophobes.


5/1/18

Plusieurs Internautes ont interpellé le maire (PCF) Patrice Leclerc sur la tenue de l’événement dans la ville. Ils dénoncent la présence de deux personnalités controversées dans la liste des invités.
Gennevilliers accusée d’être « complice active des relais du terrorisme islamiste ». Sur les réseaux sociaux, où la nuance n’est pas toujours de mise, une polémique est née autour du « Moussem Festival de l’immigration et la tricontinentale », organisé par le Front uni des immigrations et des quartiers populaires (FUIQP) et l’Association des travailleurs maghrébins de France (ATMF) ce week-end à Gennevilliers. Un rassemblement antiraciste qui se tient dans plusieurs structures municipales, dont la salle des fêtes et l’espace Grésillons.

Plusieurs Internautes, proches de mouvements laïcs, ont accusé le maire (PCF) Patrice Leclerc, de mettre Gennevilliers « au service de l’islamisme et des haineux anti-républicains ». Ils pointent la présence de deux personnalités invitées à divers ateliers. Abdelaziz Chaambi, président de la « Coordination contre l’islamophobie » (CRI), et Sonia Nour, employée à la mairie de La Courneuve. « Nous avons répondu favorablement à la demande de l’ATMF, sans regarder la liste des invités, se défend le maire (PCF) Patrice Leclerc. Chacun a droit à la liberté d’expression. »

Abdelaziz Chaambi est fiché S depuis plusieurs mois. Une décision administrative qu’il juge « sans fondement judiciaire » dans une pétition lancée en juin dernier. Et demande le retrait de son nom du fichier regroupant des personnes portant « atteinte à la Sûreté de l’État », et souvent assimilé aux islamistes radicaux.

Sonia Nour, elle, avait été au cœur d’une vive polémique après l’attentat de Marseille en octobre, revendiqué par le groupe Etat islamique. Dans un tweet, elle avait qualifié l’assaillant de « martyr ». Suspendue suite à sa sortie par le maire (PCF) de La Courneuve Gilles Poux, elle a été réintégrée en novembre, après une décision du tribunal administratif de Montreuil.

« Nous avons une totale confiance en ces deux militants. Certaines maladresses sont utilisées par nos ennemis pour mettre à mal l’émergence d’un antiracisme politique », juge Farid Bennai, militant au FUIQP.

Du côté de l’ATMF, en revanche, on est moins à l’aise. Visiblement gêné en découvrant la présence des deux invités au festival, Nasser El Idrissi, membre du bureau de l’association, explique être « encore en train de réfléchir » à leur venue. « Nous n’étions pas au courant, affirmait-il ce jeudi après-midi. Nous discutons entre nous. Nous ne savons pas encore s’ils seront présents. »

(…) Le Parisien


4/1/18

Surprise de trouver le Commissariat Général à l’égalité des territoires comme partenaire d’un festival auquel participeront la militante anti-flics et  sœur d’Adama Traoré, Assa Traoré, les islamistes du CCIF, des proches des indigènes.

 

 

Interrogé sur le sujet, voici la réponse du CGET :

 

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