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L’université de Caen refuse Michel Onfray
Michel Onfray a (enfin) trouvé chaussure à son pied à Deauville, après avoir essuyé un refus à l’université de Caen. Le philosophe avait sollicité l’emprunt de l’amphithéâtre du pôle de formation et de recherche en santé (PFRS) de Caen, qui dispose de 1 000 places.

Mais le conseil d’administration de l’université a estimé que « le cycle de conférences n’avait pas de rapport direct avec les missions de formation, de recherche et d’insertion professionnelle des universités », tout en sollicitant les personnels de l’établissement « bien au-delà de ce qui est habituel pour des événements ponctuels (14 dimanches) ».

« Ils se sont privés de 60 000 euros »
« Ils se sont privés de 60 000 euros, sous prétexte que mes cours n’avaient pas leur place à l’université, peste Michel Onfray. J’ai ensuite essayé de trouver d’autres salles à Caen, mais il n’y en a pas tant que ça qui peuvent accueillir 1 000 personnes… »

Ensuite, le philosophe a tenté vainement de s’installer dans l’amphithéâtre du conservatoire de Caen, « mais les dates ne collaient pas ».

Deauville l’accueille à bras ouvert
Michel Onfray a finalement reçu une invitation de Philippe Augier, le maire de Deauville, pour l’amphithéâtre de 1 500 places du centre international de Deauville.

La première approche de Deauville est positive avec des tarifs très honorables, assure le philosophe. Et le maire m’a dit que je pouvais rester le temps que je voulais.

Malgré son enthousiasme pour Deauville, l’impossibilité de trouver une salle à Caen reste en travers de la gorge du médiatique philosophe. « Mes conférences sont retransmises en direct sur France Culture et ne peuvent que faire de la publicité gratuite pour la ville. C’est incompréhensible. »

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Actu.fr

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