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Un rédacteur du journal étudiant de l’université de l’état du Texas a été renvoyé jeudi après avoir écrit une chronique anti-blanc, intitulée “Ton ADN est une abomination”

, qui a provoqué des émois sur le campus, y compris des exigences de démission.

“Sur le plan ontologique, la mort du blanc signifiera la libération pour tous … acceptez cette mort comme un premier pas avant de commencer à vous définir comme autre chose que l’oppresseur”, écrit Rudy Martinez dans la chronique publiée mardi dans “The University Star”.

«Jusqu’à ce moment là, souviens-toi de ceci: je te hais parce que tu ne devrais pas exister. Vous êtes à la fois la machine dominante sur la planète et le vide dans lequel toutes les autres cultures, en vous rencontrant, meurent », a ajouté l’étudiant en philosophie.

Après que le président du corps étudiant de l’université a menacé de ne plus financer le journal au milieu du tumulte médiatique (jusqu’au niveau national avec Fox News), le comité de rédaction du journal a déclaré jeudi que la chronique n’aurait jamais dû être publiée.

“En tant que responsables, nous avons autorisé la publication d’une chronique haineuse et avons blessé notre communauté qui mérite mieux”, a déclaré jeudi le comité de rédaction sur le site Internet du journal.

“Nous avons foiré”, a aussi été ajouté.

Le papier a depuis été effacé et Martinez viré du journal.

“Nous reconnaissons pleinement les répercussions de nos actions en ayant permis qu’une telle colonne incendiaire et semeuse de division soit imprimée”, écrit également le comité de rédaction. “Nous avions clairement tort de l’imprimer. Ce n’était ni constructif ni approprié. ”

Martinez, 20 ans, reste droit dans ses bottes vis-à-vis de ce qu’il a écrit.

“L’article parle de lui-même”, a déclaré l’auteur à TheCollegeFix.com jeudi après avoir été renvoyé. “Bien que mon langage, surtout quand je prétends n’avoir rencontré que ” 12 blancs corrects “, puisse être considérée excessif (à peine), il a atteint son but: ouvrir le débat et faire apparaître les racistes.”

The Hill

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