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Bernard Ravet, principal de collège, a dû faire face à une guerre de position menée par les islamistes au sein de son établissement : “Le regard des professeurs a changé quand nos collègues en jupe ont dû, le soir, être raccompagnées durant cinq mois par la Bac jusqu’au métro pour leur sécurité”.

Enfin libéré du droit de réserve par son départ en retraite, Bernard Ravet parle. Et a écrit un livre “Principal de collège ou imam de la République”. Plus jamais, on ne pourra dire que l’on ne savait pas.

“Aujourd’hui, nous sommes en face de quartiers où les enfants s’entendent répéter qu’il faut préférer la loi de Dieu à celle des hommes.”

“À Versailles, on l’a vécu avec un petit livre prônant la Charia et interdit en France qui circulait. Et quand on a demandé d’où il venait, on a appris que c’était de la mosquée du surveillant. Aujourd’hui, ce surveillant, qui avait une aura certaine sur les enfants, serait fiché S.”

“Le premier peut être de voir le nombre croissant de gamines arrivant avec un voile sur la tête qu’elles retirent avant de pénétrer dans l’établissement. C’est aussi, en période de ramadan, le nombre d’enfants qui ne mangent plus à la cantine. Et, d’une manière plus générale, tous ces enfants qui refusent de manger parce que la viande n’est pas abattue rituellement.”

“Je ne veux pas être polémique, mais quand je vois le maire de Marseille participer à l’inauguration d’une mosquée appartenant au mouvement tabligh, dont la finalité est la réislamisation des populations, je m’interroge”

https://twitter.com/ColumnsPeter/status/901384441758715904

La Provence

Merci à Pythéas

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