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Les Français accourent au Portugal. Parmi ces expatriés, beaucoup de retraités séduits par les villas bon marché, mais aussi de jeunes entrepreneurs en quête d’opportunités.

[…] Sous couvert d’anonymat, ils livrent leurs raisons : « C’est cet islam qu’on nous impose. En France, c’est l’Etat d’urgence. Ici, on a la paix. Juste la paix. On a l’impression de vivre dans la France des années 1960 ou 1970 avec d’autres valeurs. A Lisbonne, même à 2 heures du matin, on ne se sent pas en danger. C’est le luxe suprême. Je suis citoyenne du monde, mais là… Dès qu’on entame le débat sur les femmes voilées, les Belphégor… On nous colle une étiquette. On ne peut plus rien dire. Ici, on n’est pas jugé. C’est pour ça qu’on a quitté la France. » Marie-Claude embraye : « Le marché de Carpentras, qui était un marché artisanal, est devenu un souk. » Et l’on croit comprendre que s’il n’y a pas d’Arabes, ou si peu, au Portugal, c’est « parce qu’il n’y a pas d’allocations. »

[…] Le Monde

Merci à Vince

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