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Jean-François Chalot, le président de Droit au Logement Seine-et-Marne (DAL 77), a enregistré plus d’une dizaine de demandes de départs des habitants des quartiers nord, notamment à Montaigu. En cause : la drogue et les nuisances qu’elle engendre.

Présentation de Jean-François Chalot, contributeur sur Agoravox : “Je suis un militant laïque d’éducation populaire. J’assume différentes responsabilités associatives. Je suis aussi élu municipal et adhérent à des associations laïques. Très attaché à l’indépendance des associations et au respect de leurs champs d’intervention, je n’interviens ici qu’à titre personnel . Je défends une orientation révolutionnaire, lutte de classes.”

Présentation de Jean-François Chalot, contributeur sur Agoravox : “Je suis un militant laïque d’éducation populaire. J’assume différentes responsabilités associatives. Je suis aussi élu municipal et adhérent à des associations laïques. Très attaché à l’indépendance des associations et au respect de leurs champs d’intervention, je n’interviens ici qu’à titre personnel . Je défends une orientation révolutionnaire, lutte de classes.”

Ils préfèrent déménager avec les frais et la fatigue que cela suppose plutôt que de rester dans leur appartement. Plusieurs locataires de l’OPH 77, premier bailleur social du département, ne supportent plus de vivre dans certains secteurs de Melun, qu’ils estiment gangrenés par la drogue. « Depuis le début 2017, j’ai reçu plus d’une dizaine de demandes de départ, souvent du quartier Montaigu, pour nuisances diverses et insécurité», constate Jean-François Chalot, le président de Droit au Logement Seine-et-Marne (DAL 77).

Le maire de Melun a conscience de ce mal-être. « Lors de mes permanences tous les quinze jours, quartier par quartier, les locataires qui vivent là où il y a une forte dangerosité le disent : ils veulent partir», confirme Louis Vogel (DVD).

A Melun, l’OPH 77 compte 3 658 logements. Selon Didier Guisy, son directeur, le taux de rotation était de 3,78 % en 2016. «Il y a déjà eu des relogements d’urgence pour les femmes battues, pour des sinistres. Face à des représailles (lire encadré), c’est la première fois que je vois cela», assure-t-il.

Il poursuit : «L’OPH 77 fait des choses pour améliorer le mieux vivre ensemble. Les jardins partagés, la bataille des charges avec une baisse de 1 € par m2 en 2016 en renégociant les contrats…»

[…] Le Parisien

Merci à Manu

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