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23/05/2017

Sujet de TF1 qui évoque les bars sans femmes, les harcèlements, les agressions, les squats, dans «ce quartier de la Chapelle-Pajol où se côtoient toutes les cultures» :

21/05/2017

Voir aussi : Femmes harcelées à Chapelle-Pajol : De Haas suggère d’élargir les trottoirs et améliorer l’éclairage

Témoignage : «J’ai ramené des copines, et elles avaient peur. Elles étaient obligées de m’appeler pour que je les accompagne». Le responsable d’un salon de beauté a perdu la moitié de sa clientèle en 1 an.


20/05/2017


19/05/2017

Témoignage : «2 jeunes femmes se sont fait violemment agresser, l’une s’est fait cracher dessus !»


RMC | Les Grandes Gueules | 19-05-2017


18/05/2017

Ce sont plusieurs centaines de mètres carrés de bitume abandonnés aux seuls hommes, et où les femmes n’ont plus droit de cité. Cafés, bars et restaurants leur sont interdits. Comme les trottoirs, la station de métro et les squares.Depuis plus d’un an, le quartier Chapelle-Pajol (Xe- XVIIIe), a totalement changé de physionomie : des groupes de dizaines d’hommes seuls, vendeurs à la sauvette, dealeurs, migrants et passeurs, tiennent les rues, harcelant les femmes.

Révoltées, les habitantes du quartier ont décidé de lancer une vaste pétition pour dénoncer la situation. Et un quotidien de plus en plus oppressant. Celui des jeunes filles, qui ne peuvent plus sortir seules, porter une jupe ou un pantalon trop près du corps sans recevoir une bordée d’injures : l’une d’elles raconte avoir subi un jet de cigarette allumée dans les cheveux.

« Nous avons toutes droit à un traitement insupportable », souligne Nathalie, 50 ans, qui revendique trente années dans le quartier, et un climat « inédit » ces derniers mois : « Ce sont des injures, des réflexions incessantes. L’ambiance est angoissante, au point de devoir modifier notre itinéraire, notre tenue vestimentaire. Certaines ont même renoncé à sortir de chez elles ». A l’image de cette vieille dame de 80 ans, agressée sexuellement alors qu’elle rentrait dans son immeuble, et désormais retranchée dans son appartement.

(…)

Le Parisien

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